Les Larmes des hommes

Les Larmes des hommes
Une création 2013/2014 du Théâtre Spirale
Théâtre de La Parfumerie – Genève
Du 9 au 28 février 2016 à 19h (dim. à 17h)
www.laparfumerie.ch
Accueil et billetterie : Une heure avant le spectacle
Réservations : 022 341 21 21 / contact@theatrespirale.com
Tarif plein : 25,- / Carte Côté Courrier : 20,- /
Membres du Théâtre Spirale, AVS, AI, chômeurs, étudiants, professionnels : 16,- /
20ans/20 francs : 10,-

En collaboration avec les interprètes du projet SOURDS&CULTURE, nous proposons 3 représentations de ce spectacle avec interprétation en langue des signes afin que le spectacle soit accessible pour le public sourd :
Dimanche 21 février 2016, 17h00
Vendredi 26 février 2016, 19h00
Samedi 27 février 2016, 19h00

De Mia Couto (Le Fil des missangas, 2004, éd. Chandeigne)
Traduction Elisabeth Monteiro Rodrigues
Mise en scène et adaptation Patrick Mohr
Avec Amanda Cepero, Cathy Sarr, Iyaima Martínez Navarro, Rolando Berrío, Lien Rodríguez, Rey Pantoja, Jorge Enrique Caballero, Léo Mohr, enfant comédien en alternance Max Michaud ou Pablo Gisler
Composition musicale Roly Berrío, Lien Rodríguez, Rey Pantoja
Scénographie et lumière Michel Faure
Régie de tournée Hélène Giraud
Administration, production Aurélie Lagille
Création à Cuba – Théâtre Trianón – La Havane – Novembre 2013
Spectacle tout public – Durée : 1h45

Les Larmes des hommes est une création métisse, suisse et cubaine. Métissage qui réunit également sur scène acteurs et musiciens. La pièce reprend six nouvelles réunies dans Le Fil des missangas de Mia Couto, un recueil qui nous parle des petites gens du peuple et de leur lutte pour exister. L’auteur donne vie à des êtres abandonnés à la recherche de ce qui les relie aux autres et leur donne une existence. Vibrants portraits de femmes aux prises avec leurs désirs, leurs amours déçues et leurs blessures secrètes. Des êtres qui réinventent le réel, des enfants qui revisitent leurs rêves : telles sont les perles (missangas) qui composent cette œuvre où Mia Couto invente un monde singulier, dans un langage unique et universel.

« Que le théâtre réjouit lorsqu’il est cette fête des sens et du sens, ce carrefour de métissages pertinents et vivifiants ! Les salves de guitare s’abattent sur la scène comme une grêle de printemps et le temps se fige, suspendu. »
Le Temps, Marie-Pierre Genecand, mars 2014

« Savoureuse tour de Babel de langues et d’expressions, une construction métisse comme sait les assembler la compagnie genevoise, avec une forte coloration caribéenne. »
Le Courrier, Jorge Gajardo, mars 2014