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La solution aux bibliothèques bondées?

La solution aux bibliothèques bondées?

Oui: la problématique des révisions universitaires, ce sont bien les bibliothèques saturées en période intense de préparation d’examens. Étant un phénomène ponctuel (3 fois par an), il peut être réglé par une solution simple, économique et pragmatique.

De mémoire, une commune vaudoise la pratique déjà : ouvrir une partie de son espace communal pour accueillir les étudiants en révision. Cette simple mesure permet d’éviter des déplacements inutiles et de se simplifier la vie.

A Genève, la mesure aurait aussi son utilité: malgré une bonne densité de bibliothèques de quartier, les salles de lectures sont souvent vite dépassées. Une telle possibilité serait tout aussi pertinente en périphérie et en campagne.

Au surplus, n’oublions pas qu’il faut deux types d’espace, l’un de silence absolu et l’autre permettant la discussion.

Pour finir, cette offre supplémentaire et économique permet des révisions plus sereines. D’autant plus que les usagers réguliers des bibliothèques ne seront pas dérangés par une vague d’étudiants stressés.

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3 commentaires

  1. Il n’y aurait pas que de la place, elles seraient simplement vides (pour le cas d’Unimail par exemple)

    Ce qu’on recherche dans une bibliothèque étant étudiant, c’est le silence, la proximité d’une photocopieuse et de livres à consulter. La salle de révision/travail, c’est pas une mauvaise idée en soi. Mais qu’est-ce qu’on fait des dizaines de tables présentes dans les bibliothèques ? On les jette? On les laisse pour le visiteur occasionnel qui a envie de consulter un document? Je pense personnellement pas qu’ils utiliseraient tout l’espace disponible.

    Les gens qui se plaignent des étudiants dans les bibliothèques se plaignent sûrement aussi de la pluie et du beau-temps.

    Concernant mon commentaire précédent, c’était peut-être mal exprimé, mais l’intention était de souligner le fait que NOUS sommes les plus gros « consommateurs » des bibliothèques.

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  2. Photo du profil de Morgan Tinguely

    Bon, déjà, ma dernière phrase était à prendre avec un certain second degré.

    Mais je vois que la proposition général ne vous déplait, à priori, pas.

    Quant au fond, sur Facebook, il y a eu un vrai débat sur l’utilisation de la bibliothèque, je me permets une citation en laissant l’auteur anonyme: « Il y a le grand débat sur la question de savoir si une bibliothèque est ou n’est pas un espace de travail pour réviser. D’après moi c’est un endroit où l’on peut consulter et effectuer des recherches sur des documents qu’il n’est pas possible d’emprunter. Si l’usage de la bibliothèque était limité à cela, il y aurait assez de place. Or, elle est considérée comme un lieu de lecture et de travail, sans rapport avec les livres présents partout autour. L’autre jour par exemple, je devais consulter un livre « exclu du prêt » et je n’a pas trouvé de place parce qu’il y avait des dizaines d’étudiants révisant avec leur ordinateur uniquement.
    Ce qu’il faudrait donc, c’est effectivement des salles de travail/révision… et laisser la bibliothèque pour un usage un peu plus classique de celle-ci. »

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  3. « D’autant plus que les usagers réguliers des bibliothèques ne seront pas dérangés par une vague d’étudiants stressés »

    Quelle belle façon de valoriser les étudiants. On « dérange » les usagers « réguliers » des bibliothèques? Vous en avez trouvé un que ça dérange? NOUS sommes des usagers réguliers des bibliothèques.

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