L’immeuble sis au 12 rue des Alpes, insalubre depuis près de dix ans, a été rafraîchi.
Les échafaudages entourant l’immeuble du 12 rue des Alpes ont été enlevés. A la place, un mur blanc encore immaculé a redonné un semblant de décence à la bâtisse, surnommée « La verrue des Pâquis ». C’est que le bâtiment, désormais propriété de la Ville de Genève, posait un sacré problème au quartier. Il était entièrement muré et encerclé d’échafaudages qui obstruaient le trottoir à l’angle de la rue de Berne et de celle des Alpes. Un vrai coupe gorge selon d’aucun, la nuit venue.
L’édifice était à l’abandon depuis 2005. Il a un temps été occupé par des bénéficiaires de l’aide sociale, puis squatté, enfin muré. Lors de cette réfection, la Ville a assaini le rez-de-chaussée, nettoyé 10cm de crottes de pigeon, enlevé les échafaudages et posé une palissade blanche. Mais outre ce petit toilettage municipal, rien de bien neuf à l’horizon. L’objectif de la Ville est toujours d’y loger des étudiants, ou d’en faire du logement social et d’installer un poste de police municipale au rez. Pour Rémy Pagani, conseiller administratif en charge des constructions et de l’aménagement : « La Ville cherche à revendre l’immeuble et la société qui immobilière qui va avec. Deux candidats ont été approchés, mais la situation est compliquée du fait de l’existence de cette société immobilière qu’il faudrait dissoudre. Un troisième candidat est encore en lice. »
Fabien Kuhn & Antoine Grosjean
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- Le 12 rue des Alpes après rafraîchissement. FK
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- Le 12 rue des Alpes avant rafraîchissement. FK
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- Le 12 rue des Alpes aprè rafraîchissement. FK
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- Le 12 rue des Alpes aprè rafraîchissement. FK
gavillet
C’est le plus simple de rénover cet hôtel bien placé. Les étudiants seront mieux ailleurs qu’à ce carrefour Rue de Berne / rue des Alpes… mais allez savoir pourquoi ça fait 9 ans que ni étudiants, ni social, ni hôtel est opérationnel à ce jour. Ah M.Pagani (!)
Jérôme
Je passe tous les jours devant cet immeuble et j’ai remarqué donc immédiatement ce toilettage. Que ça fait du bien ! Maintenant, il faut voir combien de temps les palissades vont rester vierges…
campanini
la vérité l hôtel avait étais vendu à l époque et la ville avait refusé l exploitation de l immeuble comme hôtel alors qu il était déjà exploiter comme t elle a qui profite le crime