Accueil / Zones / Centre

Centre

La clé

A Plainpalais, la clé de l’égnime ? Bonne journée, Frank.

Le jardinage, ça s’apprend!

Ce printemps 2013 n’est pas un printemps comme les autres, c’est le principal sujet de conversation des Français, des Suisses, des Genevois et bien sûr des Carougeois.  Même si la Dame Hiver a été solennellement brûlée et si le Printemps carougeois fut si festif, tout le monde s’en plaint. Pourtant la nature poursuit son travail en silence et si la température est quasi hivernale, les fleurs des arbres ont éclos et ont déjà disparu et les nouveaux feuillages se sont développés comme si de rien n’était. Question jardinage, cette drôle de saison nous a réservé des surprises. Lors des belles journées du mois d’avril (rappelez-vous le 17 avril, une folie de soleil et de fleurs !), j’ai eu la surprise de découvrir des tulipes, que je n’avais jamais vues les années précédentes. C’est Madame Da C...

Un international congolais à l’essai avec les M21 du Servette FC

Malgré une situation financière difficile et la lutte pour le maintien en Super League, Servette FC se prépare pour la saison prochaine. Le club d’élite du bout du lac Léman met les bouchées doubles pour les emplettes du Mercato. Les Grenats élargissent leur champ d’action jusqu’au Congo. Dans leur viseur, un jeune international congolais. Guillain Kisombe Mukuntima a débarqué hier matin à l’aéroport de Genève-Cointrin pour un essai de recrutement avec les M21. L’examen de passage a débuté le soir au Centre de Balexert où le milieu de terrain a rendu sa première copie. »J’ai été bien accueilli et je viens de passer une belle séance », a déclaré Guillain après l’entrainement . Par ailleurs, il a émis franchement son voeux de vo...

Aux Nations, un apéro entre collégiens se transforme en festival de musique

Vendredi 10 mai, plusieurs centaines de jeunes se sont réunis dans le parc Rigot, derrière le Collège Sismondi, pour la deuxième édition du Festitaule. Festival d’un soir organisé par des élèves, il a connu un franc succès cette année. Malgré cela, le bilan est contrasté. Tout est parti d’un apéro un vendredi. Quelques élèves avaient pris l’habitude de se rendre dans le parc Rigot, dans le quartier des Nations, pour se retrouver avant la Critical Mass, ou simplement fêter le début du week-end au soleil. Ce parc, qui était d’ores et déjà le théâtre de manifestations telles l’annuelle Fête des Matus ou des Olympiades de la Bière, se vit alors petit à petit colonisé par les « Franc-mineurs » (et non pas « Big Tauliens », comme on peut l’entendre sou...

Géométrie

Une cage d’escalier dans le quartier de Malagnou. Bonne journée, Frank.

On rêve utopies à la librairie du Boulevard

Ce lundi soir, la librairie du Boulevard joue les prolongations. A 18h45, l’arcade est pleine et on s’agite à l’intérieur. Sur deux petites tables rondes, un apéritif accueille les nouveaux arrivants. C’est ce soir la quatrième rencontre d’un cycle intitulé « Utopies réalisables », aujourd’hui consacré à la ville. L’institution reçoit pour l’occasion deux hommes qui connaissent bien la question, chacun à sa manière : Thierry Paquot, philosophe et urbaniste, auteur de nombreux ouvrages, ainsi que Luca Merlini, architecte et écrivain. Une table ronde animée par Elena Cogata Lanza. Avant le début, certaines personnes peinent à trouver une place. Devant, on se retourne, presque étonné de voir autant de monde : « Ah, tiens, c’est la ville qu...

Les jeunes marronniers de Carouge, pavés et libérés!

Plantés en février, deux jeunes marronniers sont maintenant en fleurs et surtout libérés des barrières qui les encerclaient. C’est qu’il fallait repaver le sol autour d’eux. Opération fort difficile et pénible à laquelle se sont attelés deux apprentis maçons-paysagistes, formés par la Ville de Carouge, Jonathan Lopez, 3ème année, et Kevin Schneg, 2ème année. C’est une des techniques apprises dans le cadre de leur apprentissage. Au Portugal, le métier de paveur existe à part entière.  Il faut travailler à genoux, le dos courbé, et casser la pierre pour qu’elle s’ajuste au plan du pavement, en arrondi autour des arbres.  Après plusieurs jours de ce rude  travail, les apprentis ont encore enlevé les barrières et parsemé le sol de sable, qui au gré des pluies va s’insérer entre les pavés et  c...

On brade à Carouge!

Que brade-t-on ? Tout ! Dans cet immense vide-grenier qui couvre les rues St-Joseph, du Marché, Ancienne, un peu de Jacques-Dalphin, le boulevard des Promenades et la Place de la Sardaigne, on peut trouver aussi bien du neuf que de l’antique, du classique que de l’hétéroclite, du beau que du kitsch, des livres, des habits, des meubles, des tissus, de la vaisselle, des téléscopes, de l’électro-ménager, des parapluies ou des  parasols, des piscines gonflables ou des skis. La Place de la Sardaigne est couverte de jouets, vendus par les enfants eux-mêmes. Une de mes petits-enfants douée pour le commerce a réussi ainsi à se faire plusieurs centaines de francs d’argent de poche à chaque Braderie ! Il faut dire que les dinosaures, les barbies et autres monstres déclenchent des crises aigües d’env...

Au poil, le quartier des Bains

  A Plainpalais, deux générations de barbiers se côtoient. L’une voit arriver bobos et artistes. L’autre ne se fait guère d’illusions quant à l’avenir des salons masculins «C’est ici qu’on trouve les meilleurs», clame l’un des fidèles clients d’Emilio. Sur sa tête, une coloration en attente de séchage.Et la barbe? «C’est seulement 5% de mon chiffre d’affaires, confesse Emilio Santoro, quarante-cinq ans de métier et présent dans le quartier depuis 1976. A cette époque, c’était environ 20%. Les hommes venaient surtout le samedi et j’en faisais facilement sept ou huit à la suite.» Pourtant, le poil serait la tendance du moment. Après le glabre métrosexuel de la décennie précédente, c’est l’homme au visage velu qui s’est imposé depuis le début des années 2010. De quoi laisser aux no...

A Plainpalais, l’homme et la machine…

Dimanche après-midi, je me dirige vers la plaine de Plainpalais pour faire mes provisions de légumes au marché et prendre un petit café au soleil. Je vois au loin un important attroupement. Intriguée, je m’approche : au milieu de quelques centaines de spectateurs, une pelle mécanique et un homme valsent. Au début, la musique classique et la grosse machine paraissent vraiment antagonistes. La pelleteuse, qui d’habitude fonce tout droit avec ses roues aux pneus épais, qui creuse sans délicatesse, le bruit de son moteur et de ses pistons qui sifflent couvrant tout le reste, prend aujourd’hui une toute autre allure. Ici, la musique l’emporte et on se prend au jeu de cet homme, plus tout jeune et élégamment vêtu, qui danse, culbute, se couche dans la pelle, saute au sol,...

La nouvelle place de jeux du parc Bertrand ne fait pas l’unanimité

On y grimpe, on s’y suspend, on s’y balance et on le dévale. Jeudi, en fin de matinée, le succès est au rendez-vous pour le nouveau fort du parc Bertrand. Après un mois de travaux, la place de jeux du parc a été rendue aux enfants. L’ancien fort en bois a été mis à la retraite après une vingtaine d’années de bons et loyaux services. Il a été remplacé par une nouvelle structure, plus grande et surtout plus adaptée aux normes actuelles (lire notre article du 8 avril). Outre ce nouveau château, un carrousel et des toboggans oranges flambant neufs ainsi que deux chevaux à bascule ont été installés à proximité du bac à sable. « Dangereux pour les tout petits » Si ces nouvelles installations réjouissent les petits aficionados de la place de jeux, les...

A Carouge, le Printemps n’est pas tout à fait terminé…

Il a laissé de beaux restes : les volets et les fontaines crochetées n’ont pas été démontées et elles continuent de jeter des éclairs de couleurs vives, même sous la pluie et la grisaille… dommage que  le bikini de la Venus du 18 boulevard des Promenades ait été enlevé, certainement par un naturiste radical. Juste avant sa disparition, une branche fleurie de cerisier du Japon avait jailli du bikini ! Les broderies urbaines, très discrètes, ajoutent toujours une note de mystère aux grillages de la ville. Le dernier dimanche d’avril, fuyant les rafales de pluie, je me suis réfugiée à ARCOOP, 32 rue des Noirettes, où je n’avais encore jamais mis les pieds. Un bâtiment réunissant sur cinq étages des ateliers d’artisans, d’artistes, de créateurs. Et au centre une grande cour ayant accueilli des...

Mot de passe oublié

Inscription