La salon de coiffure Mod’s Hair à Rive a fêté l’Escalade comme chaque année, dans une bonne humeur communicative.
Découvrez le musée de l’Ariana. Installé dans un somptueux palais construit à la fin du 19e siècle par Gustave Revilliod (1817-1890), éminent mécène et collectionneur. Bonne journée, Frank.
Un chemin vers l’art comptemporain. Cour du Mamco. Bonne journée, Frank
Voici revenir le joyeux mois de Noël. En ces temps de liesse, les rues se maquillent et tentent à tous prix d’appâter le passant. Tous les jours, j’ouvrirai une porte de calendrier jusqu’à la libération du 25.
Vue plongeante du parking des Grottes. Une inspiration Gaudienne ? Bonne journée, Frank
Comment ne pas être émerveillé de tant de vie. Avoir 89 ans et le sourire aux lèvres, des yeux bleus pétillants, toujours un mot gentil. Facteur pendant 43 ans dans le quartier de Champel, Walter habite le centre ville et tous les jours, par n’importe quel temps, il enfourche son vélo et pédale. Il se rend à son jardin potager situé dans un espace partagé avec d’autres familles. Parfois pédale encore et va jouer au ping pong. Incroyable ! Quand c’est la saison, ce sont les champignons qui lui prennent tout son temps. Il affectionne les marjolus et à chaque fois que ces beaux champignons pointent le bout de leur nez il dit ressentir la même émotion. Il partage ses récoltes avec ses voisins qui, le temps venu, se régalent. Durant sa vie bien remplie avec son travail, il a e...
Batiment des Forces Motrices se reflétant dans le Rhône. Bonne journée, Frank
Denner a ouvert son premier magasin permettant de faire ses courses tard le soir, répondant également à une demande de proximité, surtout pour les plus âgés. L’angle de la rue des Charmilles et de la rue Daubin s’est doté d’un nouvel habillage rouge. La chaîne de supermarché Denner propose aux habitants du quartier un magasin « Express » à deux pas de chez eux, depuis le 16 novembre dernier. Mme Souriau, une personne âgée résidant au coin de la rue, est enthousiaste : « Je connais beaucoup de gens qui auraient acheté chez Denner, mais il fallait prendre le bus. Maintenant, c’est proche de chez nous ». Pour un grand nombre de clients du troisième âge, c’est une petite révolution. L’autre avantage, ce sont des horaires plus étendus. Durant la semaine, le magasin ouvre tous les jours de 8h00 ...
« Les sanglots longs des violons de l’automne, blessent mon cœur d’une langueur monotone ». Ces vers connus me viennent à l’esprit lorsqu’en route pour le travail, je zigzague en scooter entre les voitures tout en pestant contre la route mouillée sur laquelle les feuilles mortes sont collées. Se concentrer sur le trajet, ne pas glisser, éviter les obstacles, y voir clair alors que le jour n’est pas encore levé, bref survivre dans la jungle des pendulaires ! Feu rouge : « Ô temps suspend ton vol ! » J’inspire et fait étrange, mon cerveau qui dans ce contexte, devient mon autoradio intérieure, se souvient de tous ces courriels envoyés par mes amis dont le contenu me rappelle que l’amitié vaut tous les amours du monde, qu’il faut aimer ses proches et le leur dire ou pire encore, qu’il faut pr...
Voici revenir le joyeux mois de Noël. En ces temps de liesse, les rues se maquillent et tentent à tous prix d’appâter le passant. Tous les jours, j’ouvrirai une porte de calendrier jusqu’à la libération du 25.
Mystérieux béton, révélateur de fantômes. Vous ne me croyez pas ? Vous pensez qu’une fois de plus, je déraisonne ? Alors, suivez-moi. Lieu : place de Sardaigne. Qui dit catacombes, dit sous-sol, donc parking. Que vous soyez un habitué des lieux ou un usager épisodique, je suis certaine que vous êtes passés devant ces faces mortuaires sans les voir. Je les ai découvertes il y a quelques mois et ce jour là mon œil devait être plus aiguisé qu’à l’accoutumée. C’était un samedi, le garage étant assez plein, je finis par trouver un emplacement au deuxième niveau. J’avançai ma voiture entre les deux lignes blanches, débouclai ma ceinture et m’apprêtai à couper le moteur, lorsque mon regard fut accroché par un visage terrifiant figé dans le mur et éclairé par mes phares. Je n’en croyais pas mes ye...