De la fonderie d’art au graffiti Nation 2012 Entre le 9 et le 24 novembre passé, l’ancienne fonderie d’art de Carouge a servi de cadre à l’exposition Graffiti Nation 2012, organisée dans le cadre du festival Communes-ikation. Créée en 1919, la Fonderie de Carouge a vu deux générations de fondeurs couler dans le bronze les oeuvres de Rodin, James Vibert, Giacometti ou encore Meret Oppenheim. Fermé au milieu des années 80, ce haut lieu de la sculpture a repris des couleurs sous les sprays de graffeurs locaux et internationaux réunis pour l’exposition Graffiti Nation 2012. Une initiative hautement participative Dans cet espace semi-industriel ont eu lieu des ateliers et des démonstrations de graffiti (pochoir, lettering, etc.), de détournement d’affiches ou...
Hier soir a eu lieu la soirée de lancement de Bloom and Boom, une nouvelle association pour les femmes dont l’objectif est de favoriser les échanges lors des différentes étapes de leurs vies. De l’adolescence à la retraite, l’association abordera tous les sujets et valorisera le partage entre générations et entre différentes cultures. 100 femmes étaient réunies à la Maison de Grange Collomb à Carouge pour la présentation de ce projet, animé par un atelier, des expositions, un spectacle de danse, des lectures de poèmes et des chants amérindiens. Une très belle soirée.
Le CS Interstar revit grâce à ses dirigeants âgés de moins de 30 ans. Un nouvel enthousiasme avant une éventuelle fusion des trois clubs de football de Varembé. Les jours de match, on chante et on allume même des fumigènes dans les gradins du stade de Varembé. Des hordes de supporters en délire pour le CS Interstar, l’un des trois clubs qui occupent les installations sportives coincées entre la gare et le quartier des Nations. Dans cette enceinte un brin vieillotte et en surexploitation permanente, voilà des décennies que l’on n’avait pas vu ça. «Ce stade, on adore le détester», sourit Snoussi Laddi, le président du CS Interstar, en évoquant des infrastructures qui attendent un rafraîchissement nécessaire. Là au milieu, le club qui rassemblait autrefois les ouvriers des ateliers de Séchero...
Vendredi 23 novembre, à la Concorde, les habitants se transforment en héros, le temps d’une soirée un peu spéciale. Ils amènent des objets pour constituer les lots d’un loto très animé. Malgré les températures fraiches de l’extérieur, l’ambiance est tropicale dans la salle polyvalente des Ouches. Planche de surf, colliers de fleurs et chemises bariolées réchauffent la pièce et les cÅ“urs des habitants. L’organisation est rôdée: boissons, sandwichs, animations et musique assurent la réussite de la soirée. «Aloha kakou» (bienvenue à tous)! Les joueurs arrivent timidement pour échanger des bandes dessinées 3D, des bougies, un gril portable et des paniers garnis contre des cartons de jeu. Des lots, il y en a pour tous les goûts. Ça tombe bien car les concurrents sont âgés de 4 à 84 ans. A...
Quand il n’est pas derrière son bureau, Frank Rikly se transforme en photographe. «Je suis un pur Genevois, alors j’aime faire découvrir ma ville, ses recoins et ses scènes insolites.» L’architecture, mais aussi les scènes quotidiennes captivent son objectif. Ce directeur financier d’une entreprise du bâtiment voue également une passion pour les parcs de la ville et leurs statues. «Il y a un patrimoine incroyable et parfois méconnu à Genève», s’exclame-t-il. Avec ses séries de photos parfois minimalistes, Frank Rikly questionne sans cesse sa ville et ses spectateurs.
Pour susciter la fièvre acheteuse, les commerces multiplient les mises en scène. Cuisiniers, artisans, horlogers: ils deviennent les acteurs d’un spectacle. «Ciao Nicola.» Les habitants de la rue Dizerens ont pris l’habitude de saluer chaque matin le fromager. Lui, les mains dans le lait caillé, répond d’un signe de tête. Voici des heures qu’il s’affaire dans son atelier spartiate au su et au vu de tous. La vitrine, c’est lui. On le regarde étirer la pâte épaisse et blanche dans un décor d’inox. Certains passants s’arrêtent face au spectacle qui se joue derrière une vitre légèrement embuée. La mozzarella en sera l’épilogue. Pour Angelo Albrizio, l’un des deux fondateurs de la fromagerie Casa Mozzarella, l’idée d’une vitrine vivante n’est pas apparue tout de suite. Mais, au fil du temps, el...
Dès ce mercredi, les Genevois pourront se déplacer à bord un bus TPG aux couleurs de Signée Genève. La « customisation » de ce bus des Transports publics genevois a eu lieu en début de semaine. Sa mise en circulation coïncide avec la parution du 2ème supplément tabloïd Signé Genève. Le bus Signé Genève circulera durant une année à travers le canton de Genève, sur les différentes lignes TPG. Découvrez ci-dessous une galerie d’images réalisée lundi après-midi durant les préparatifs du bus, dans les hangars du dépôt TPG de Bachet-de-Pesay, ainsi que ce mercredi dans les Rues-Basses de Genève.
Facade de l’école d’Ingénieurs de Genève, situé Rue de la Prairie 4.
C’est au quartier de Varembé que s’élève la tour de L’Union Internationale des Télécommunications. Le mandat de construction de la tour fut confié aux architectes André & Didier BORDIGONI. Achevée en 1973, cette tour comporte 18 étages sur un plan pentagonal.
Ce cèdre bleu du Liban est la fierté des habitants du quartier de Châtelaine car il a 270 ans. Cinq cèdres du même type ont été plantés à Genève et, aujourd’hui, il n’en reste plus que quatre. Avant la construction des immeubles et du centre Balexert, le quartier de Châtelaine regorgeait de potagers en tout genre. Ce serait cool de trouver une image de cet arbre lorsqu’il fût planté.
Il était environ 14h, ce jeudi 22 novembre, lorsqu’un sacré remue-ménage provenant de la rue, au pied de mon bureau, a attiré mon attention. Et pour cause. La police était en train de boucler l’avenue Blanc et le camion des démineurs était stationné en bas de l’immeuble. J’en ai profité pour saisir quelques images sur le vif où l’on voit notamment le robot de déminage se déployer. Selon toute vraisemblance, il semblait s’agir d’une alerte à la bombe. Pas étonnant, vu le nombre de représentations internationales installées dans cette rue. Au final, plus de peur que de mal puisque la prétendue bombe s’est révélée n’être qu’une glacière abandonnée sur le trottoir.