La plupart d’entre nous apprécient de se baigner en milieu marin. Certes.. mais notre bien aimé Léman a beaucoup de qualité mais le défaut d’un lac alpin… d’eau douce. Depuis cet été les choses changent non pas que le Léman soit devenu salin mais deux centres de flottaison ont ouvert leurs portes dans la Cité de Calvin. Deux centres, deux quartiers, deux ambiances. Quand on parle de flottaison… qu’est-ce-que c’est ? Ce sont des bains d’eau de mer au sel d’Epsom. On pourrait presque dire un bain de la mer morte. Namaka fut le premier centre à ouvrir. Situé dans les anciens locaux de la banque HSBC il est à la fois au cœur des Pâquis et dans une rue au calme. Antoine Mathys, directeur du centre a répond à quelques questions. Quand on passe devant votre vitrine on s’attend à un institut de be...
Nous voici en novembre et pour la majorité d’entre nous, il n’y a pas de quoi se réjouir des fêtes qui approchent. Les activités diverses partagées sont remises à plus tard… mais à quand ? Avant d’aborder un article un peu pessimiste, une note plus positive toutefois avec une balade dans les rues de Carouge : certaines sont déjà parées des illuminations de Noël. Une initiative bien sympathique des autorités de la Cité Sarde. En effet, l’installation des lumières a été avancée d’un mois, pour apporter un peu de magie et de chaleur à cette fin d’automne plutôt tristounette. Il est vrai que la plupart des manifestations et réjouissances publiques et de fin d’année sont annulées en raison de l’évolution inquiétante de la pandémie : pas de Marché de Noël à Ca...
Les modes de transport électriques ont la vie dure. Entre le Segway et la trottinette, la planche à roulettes, le vélo électrique ou le hoverboard, les règles d’homologation et d’utilisation varient du tout au tout. Le trottoir est de toute façon interdit, mais parfois, les pistes cyclables ou la voie publique sont autorisés. C’est le cas pour les trottinettes, vélos ou Segway. Tous les autres moyens de transport de type électrique sont bannis d’un usage public, du moins à Genève. Seul l’usage en terrain privé leur est autorisé. Voilà ce que dit la loi. Dans les faits, depuis un certain temps, il n’est pas rare de croiser sur le bitume genevois certains engins électriques ne possédant pas de freins mécaniques, condition sine qua non pour obtenir une homologation. Les forces de l’ordre adop...
Depuis la terrasse du Café du Stade à Carouge, en quelques minutes nous avons assisté à plusieurs quasi-collisions entre des voitures et des cyclistes : ce ne sont malheureusement pas les premières fois, ni certainement les dernières… En effet, pour les véhicules qui arrivent de la Fontenette sur la route de Veyrier en direction du Bureau des Autos et qui doivent obliquer à droite pour emprunter la rue Daniel-Gevril, ils doivent « couper » la nouvelle piste cyclable, puis franchir également un passage piéton. Si ce dernier se trouve plus loin et ne pose pas de problème, c’est la piste cyclable au premier plan qui représente un danger à cause d’une mauvaise visibilité pour les conducteurs. En effet, comme vous pouvez le voir sur les photos ci-dessus, ...
On ne le répétera jamais assez : porter un masque dans l’espace public permet surtout de protéger les autres. Une personne infectée peut être contagieuse sans le savoir jusqu’à deux jours avant l’apparition des symptômes. Ainsi, si tout le monde porte un masque dans un espace étroit, chacun est protégé des autres. Les masques ne garantissent pas une protection à 100 %, mais ils permettent de ralentir la propagation du nouveau coronavirus. Mais ces derniers temps, dans les magasins ou les transports publics (où l’on se « démasque » fréquemment pour manger ou boire…), on observe un grand n’importe quoi : d’aucuns se promènent en ville le masque sous le nez ou sous le menton. D’autres le touchent constamment sans se laver ou se désinfecter les mains. Pour les masques chirurgicaux, le côté col...
On les surnomme souvent « croque-mort » mais à notre époque ils sont devenus des agents funéraires. Ce sont des hommes et des femmes qui se dévouent pour gérer et adoucir le processus de deuil des familles car un enterrement réussi équivaut à des adieux réussis. Interview avec Madame Sophie Bedoian, directrice des Pompes Funèbres Générales à Genève. Pourquoi avez-vous choisi de travailler dans ce secteur ? C’est une histoire de famille. Mon père est entré dans la société en tant qu’assistant funéraire en 1987 et il est maintenant Directeur Général. Depuis toute petite, j’ai toujours connu les Pompes Funèbres Générales et l’agence de Carouge. Ma mère l’a rejoint en 2001 comme Directrice Administrative. Pour ma part, je me suis lancée dans cette activité en 2006, après mes études en hôteller...
Cette beau graff, qui résume si bien l’histoire des immeubles de la rue des Maraîchers, vient de tomber en poussière… Les ouvriers ont mis en place un impressionnant dispositif pour exécuter la démolition des derniers immeubles ouvriers appartenant à l’Hospice général, et pour protéger le voisinage. Nous avons ainsi assisté en direct à cet anéantissement des demeures. Au moment même où la gueule de la pelleteuse avale un appartement, curieusement, je sens le fumet d’une bonne soupe flotter dans l‘air… 1960 (ou même un peu avant, dans les années 50) : dans le grand enthousiasme de l’après-guerre et de la reprise économique, des habitations ouvrières, bon marché, accessibles à tous, ont été construites en quantités, notamment les « cités Familia », à la Servette, au Petit-Saconnex, aux « fro...
Pour un repas convivial à la route de Florissant, n’hesitez pas d’essayer le restaurant pizzeria ‘Indigo’. Une cuisine delicieuse, une equipe super sympa et surtout des prix très raisonable.