Le fameux Goulet » de Chêne-Bourg a été détruit en 2002 et a fait place à une construction d’un immeuble HBM de 24 logements comprenant également 500 m2 de surfaces commerciales et 100 m2 d’ateliers d’artiste.
Comme l’immeuble est situé en bordure immédiate d’une rue à forte circulation, la façade rue a fait l’objet d’une étude particulière pour répondre aux exigences de bruit. L’immeuble fait partie d’un aménagement plus vaste de l’îlot Floquet qui comprend en outre une salle communale et un parking souterrain.
nico
Superbe émotion et que de souvenir devant ces photos! Magnifiques endroit qui donnait un style alterno très agréable a Chêne-Bourg. Malgré mon jeune age, je regrette amèrement ce bastion de culture et d’idée communautaire. Malheureusement, ces lieux « disgracieux » aux yeux de la masse disparaissent (comme Artamis) pour laisser place à des espèces d’aquarium immonde et sans aucun caractère.
Triste de voire un « bâtiment » évoluer d’une manière aussi merdique, pardonnez moi l’expression!
Bianchi
Je trouve le commentaire même trop sympa … Et dire que l on paie des architectes pour faire des immeubles pareils… Cela fait encore plus squatte qu avant!!!!!
chabloz yvan-pierre
La décision de supprimer le goulet de Chêne-Bourg, est, avec douze ans de recul, une bonne chose. L’immeuble construit aurait pu être plus beau, presque tout le monde en est convaincu.
Subsiste l’ignoble goulet de Chêne-Bougeries où sévissent, depuis des lustres, incurie municipale, recourite aigüe, égoïsme exacerbé, laisser aller, « je m’en foutisme », incapacité à prendre des décisions et absence de fierté pour représenter Chêne Bougeries, commune réputée riche et résidentielle.
Philippe Joye, ancien conseiller d’état, a eu le courage de démolir un seul des immeubles (le trou servant de parking « provisoire ») qui menaçait de tomber sur la tête des passants et le toit des tramways.
Chêne-Bougeries doit enfin avoir le courage de rénover ces immeubles avec mise sous arcade à créer d’un passage pour les piétons afin d’élargir la chaussée. Ou de tout démolir (beaucoup moins coûteux) et de reconstruire avec un bon architecte!
Alejandro Sebastian
Et désormais l’on subit cette ignomigneuse vérue architecturale, posée telle un furoncle disgracieux sur la rue de Genève.
C’est une belle émotion que de revoir ces anciennes images, de ces petits immeubles banlieusards vibrants et avec une âme.
D’autant plus, il est triste de voir par quoi cela fut remplacé. Un cube, mi-rose, mi-bleu, un peu ouvert, un peu fermé… Du grand n’importe-quoi surtout.
Laurent
On se souvient surtout du magasin de jouet « chez Merki » qui a bercé nos rêves d’enfant les plus fous… merci pour ces joiles photos, mais quelqu’un en aurait-il d’avant ces peintures ?