Voilà bien deux ans que les volets verts à l’angle de la rue Jacques Dalphin et de la place du Temple étaient clos. Faisant enfler la rumeur dans la cité sarde. L’Olivier de Provence? Pas de nouvelles, il paraît qu’il y aura un hôtel… ou un restaurant argentin. Et puis il y a quelques semaines de cela, les persiennes se sont timidement ouvertes., doublées d’une offre d’emploi inscrite à la craie sur un panneau: «Cherchons barmaid, etc.» C’était donc ça, l’Olivier de Provence, une institution culinaire à Carouge s’engage dans une seconde vie. Vendredi dernier, les nouveaux patrons de l’enseigne ont invité la population carougeoise à de sympathiques agapes présageant d’une ouverture prochaine. Chose faite lundi dernier 3 octobre. C’est trois joyeux lurons qui tiennent désormais les rennes de l’Olivier de Provence. Cyril et Christophe Frutiger ainsi que Sébastien Descourtis. Et ce ne sont pas des novices en la matière puisqu’ils possèdent déjà d’autres enseignes à Genève. Leurs parents s’étaient lancés dans la restauration dans les années 90 en ouvrant l’Escapade, à l’avenue Krieg. A quoi faut-il s’attendre désormais dans cet angle de rue carougeois? «De la cuisine italienne et méditerranéenne, mais sans pizza», explique Cyril Frutiger. Un exemple? «Ah oui, nos chefs cuisinent des paccheri, des pâtes italiennes à la sauce au fenouil. On mélange trois chairs de saucisse différentes (cou, lard et épaule) et on les fait revenir avec du fenouil, du piment, de la mozzarella fumée et des petites tomates. un régal» explique le patron. Et il y aura les entrées, car je me suis rendu compte que les gens aimaient partager leurs plats, un peu à la mode tapas, la convivialité carougeoise, quoi!» Et la barmaid? Dénichée, la perle rare? «Oui, on l’a rapidement trouvée, et en plus, elle habite à deux pas!»
L’Olivier de Provence à nouveau ouvert à Carouge
Voilà bien deux ans que les volets verts à l’angle de la rue Jacques Dalphin et de la place du Temple étaient clos. Faisant enfler la rumeur dans la cité sarde. L’Olivier de Provence? Pas de nouvelles, il paraît qu’il y aura un hôtel… ou un restaurant argentin. Et puis il y a quelques semaines de cela, les persiennes se sont timidement ouvertes., doublées d’une offre d’emploi inscrite à la craie sur un panneau: «Cherchons barmaid, etc.» C’était donc ça, l’Olivier de Provence, une institution culinaire à Carouge s’engage dans une seconde vie. Vendredi dernier, les nouveaux patrons de l’enseigne ont invité la population carougeoise à de sympathiques agapes présageant d’une ouverture prochaine. Chose faite lundi dernier 3 octobre. C’est trois joyeux lurons qui tiennent désormais les rennes de l’Olivier de Provence. Cyril et Christophe Frutiger ainsi que Sébastien Descourtis. Et ce ne sont pas des novices en la matière puisqu’ils possèdent déjà d’autres enseignes à Genève. Leurs parents s’étaient lancés dans la restauration dans les années 90 en ouvrant l’Escapade, à l’avenue Krieg. A quoi faut-il s’attendre désormais dans cet angle de rue carougeois? «De la cuisine italienne et méditerranéenne, mais sans pizza», explique Cyril Frutiger. Un exemple? «Ah oui, nos chefs cuisinent des paccheri, des pâtes italiennes à la sauce au fenouil. On mélange trois chairs de saucisse différentes (cou, lard et épaule) et on les fait revenir avec du fenouil, du piment, de la mozzarella fumée et des petites tomates. un régal» explique le patron. Et il y aura les entrées, car je me suis rendu compte que les gens aimaient partager leurs plats, un peu à la mode tapas, la convivialité carougeoise, quoi!» Et la barmaid? Dénichée, la perle rare? «Oui, on l’a rapidement trouvée, et en plus, elle habite à deux pas!»
Isabelle Mathelin
Ça donne envie de tester…!