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Bars Genève, le super-héros des nuits genevoises
Mon anniversaire approchant à pas de géants, je décide d’organiser une petite sauterie des plus exquises. Oui, le genre de soirée intimiste avec mes acolytes de toujours, mêlant discussions, éclats de rires et pas de danse improbables entre deux cosmos. Eh oui que voulez-vous, 27 ans ça se fête ! Seulement et c’est là où le bât blesse, impossible de faire un choix parmi la flopée de bars qu’offre la cité de Calvin ! Mais alors comment faire ? Je lance dans un premier temps un appel de détresse -non pas en morse- mais dans un post sur mon réseau social préféré. Et là …un bide, aucune réponse ! Devant cet échec cuisant et mon désespoir grandissant de me retrouver dans le même bar que l’année passée (me remémorant ainsi que je bascule gentiment du côté obscur de la force), je me rappelle...
L’esprit de fête populaire demeure à Carouge
Les Carougeois ne veulent pas payer plus d’impôts, ils l’ont clairement exprimé par leur vote du 9 juin. Mais avec ou sans budget, ils aiment faire la fête ! C’est dans la tradition depuis la naissance de Carouge: les Genevois, à l’étroit dans leurs murailles fermées la nuit et brimés par leurs lois somptuaires, venaient «s’encanailler» à Carouge, qui leur proposait ses cabarets, ses auberges, ses maisons de jeux et de passes et autres fiestas. A la fin du 18ème siècle, pour une population de moins de 5000 habitants, on comptait 143 auberges ! Puis au 19ème et au 20ème siècles, Carouge est devenue une petite ville pauvre, laborieuse et joyeuse, à connotation italienne, avec ses célèbres bistrots et encore quelques cafés dansants, tel le Café des Amis ! Actuellement, Carouge est en voie d...
La rue de l’Ecole-de-médecine est-elle toujours festive ?
L’affaire avait fait grand bruit. Sous prétexte de plaintes du voisinage, plusieurs bars de la ville avaient été menacés de devoir fermer leurs portes à minuit en février dernier. Le service du commerce avait principalement visé des établissements (28) en Vieille-ville, à Carouge, à la rue de l’Ecole-de-médecine (Plainpalais) et dans le quartier des Eaux-Vives. Les réactions avaient été vives, rapidement relayées sur les réseaux sociaux, aboutissant la nuit du 2 mars à une importante manifestation sur la Plaine de Plainpalais. Depuis, les fêtards savent qu’ils doivent se tenir à carreau s’ils veulent que leurs établissements préférés restent ouverts jusqu’à 2h00 du matin. C’est là qu’ont été engagés ces fameux « chuchoteurs », des personnes qu&rsqu...
Tournée des bars tendance aux Eaux-Vives
Si les Eaux-Vives ont une réputation de quartier où il fait bon vivre, plutôt calme – comparé aux Pâquis notamment – et où l’on profite plutôt de bons restaurants, il semble pourtant que les choses aient commencé à changer depuis quelque temps. On voit ouvrir de plus en plus de bars branchés dans le quartier. A l’heure où l’on déplore la fermeture de lieux mythiques comme la SIP et où l’on polémique sur le bruit liés aux heures d’ouverture des bars, le quartier des Eaux-Vives serait-il en train de devenir l’endroit où il fait bon sortir à Genève? A la rue Henri-Blanvalet, c’est Yvette de Marseille qui donne le ton depuis bien longtemps déjà , avec des tapas dans une atmosphère décontractée et une immense terrasse. Les choses simples restent souvent les meilleures! Ju...
Comment les bars de la périphérie ont évité la fermeture à minuit
Les tenanciers de bars et de discothèques jonglent entre clients festifs et bon voisinage. Pour eux, être situé à Meyrin, Thônex ou au Grand-Saconnex est un atout. Jamais José Antonio Guardiola ne retournerait au centre-ville. Et pourtant, cet Espagnol au bagout entraînant y a possédé plusieurs établissements par le passé. Désormais, il est le patron du G Bar, l’un des rares bistrots du Grand-Saconnex ouverts jusqu’à 2 heures du matin. «Quand l’opportunité de reprendre l’affaire s’est offerte à moi il y a douze ans, je n’avais mis les pieds dans la commune qu’une fois ou deux», se souvient-il. Aujourd’hui, il dit tenir le coup bien que «les deux dernières années n’aient pas été simples». Mais plus que tout, au moment où la vie nocturne vit une période de troubles – en témoigne le tollé cau...
