Série de photos prises avec un drone dans la région Arve et Lac…
Après la chaleur estivale, il est l’heure de laisser la place aux couleurs chaudes de l’automne. Saison des vendanges et de la récolte du précieux nectar, profitons un instant de la beauté des lignes qui sont formées par la succession des sarments de vigne, habillés de feuilles maquillées par Dame Nature. Un spectacle grandiose qui a animé la belle région dénommée « entre Arve et Lac », qui s’étend sur plus de 280 hectares. Cette zone se situe dans l’est du Canton et s’étire de Cologny à Hermance et inclut entre autres les coteaux de Choulex et de Jussy, lieux où les images ont été prises avec un drone de dernière génération. Profitons de l’occasion pour soutenir les viticulteurs du canton en cette période délicate. Une majorité d’entre eux vous accueillent le samedi matin, et...
Suite à une nuit dominicale glaciale aux environs du Pré de l’Oie, c’est un spectacle abstrait qui s’est dévoilé tout au long des chemins de campagne
Les vacances sont finies pour une grande majorité de lecteurs de la Julie. Egayons un peu cette reprise de la routine quotidienne avec quelques images estivales. Célébrée par Van Gogh, contemplée et appréciée dans le monde entier, la « fleur de soleil » est une géante d’une énorme simplicité. Ses grandes marguerites jaunes ne demandent qu’une chose : du soleil !
Si la commune de Choulex est bien connue pour ses étangs, sa réserve naturelle, sa faune et sa flore, peu de gens savent qu’elle accueille aussi, et depuis 35 ans, de drôles d’oiseaux métalliques. Au milieu des champs et des marais se cache en effet un terrain d’aéromodélisme. Des passionnés s’y retrouvent régulièrement pour faire voler de petits bolides : des hélicoptères, des drones, des planeurs, …, avec en toile de fond le Mont Blanc, les vignes et la campagne. Un loisir en vogue « L’aéroclub de Choulex a été créé en 1980. Le terrain s’est agrandi à plusieurs reprises pour atteindre sa taille actuelle avec une piste de 70 mètres de long », nous explique Alain Hofer, président du club. Choulésien d’origine, Alain a débuté l’aéromodélisme à l’âge de 15 ans. « La pratique du modélisme pro...
Le village de Choulex sera à la fête ce week-end pour célébrer l’anniversaire d’une fringante centenaire : son école primaire. Construite en 1914 par les autorités du village, l’école a accueilli sans discontinuer des élèves durant un siècle. Des générations entières d’enfants et de professeurs s’y sont succédé. « Nous estimons qu’environ 700 à 800 élèves ont fréquenté l’école de Choulex. Quant aux professeurs un peu plus d’une vingtaine seulement ont travaillé ici », précise Stéphanie Jousson, membre du comité d’organisation du centenaire de l’école. Cela peut sembler peu, mais les professeurs ont toujours été très fidèles à l’école, exerçant entre dix et quarante ans chacun. C’est le cas de Monique Thorens. « J’ai enseigné à Choulex durant 14 ans, de 1956 à 1970. Mon mari était éga...
Par un bel après-midi d’automne, je prends l’air à la Plaine de la Haute-Seymaz, sur la commune de Meinier. Ce site magnifique a été complètement renaturé il y a quelques années. Le béton a laissé place aux étangs, à une végétation dense et à de beaux sentiers de randonnées. Des rencontres naturalistes Au cours de ma balade, je rencontre un jeune homme, Antonin Jaquet, bénévole à l’association Pro Natura. Il m’explique qu’il est là pour informer les promeneurs et leur présenter la faune et la flore du lieu. Il va ainsi me raconter l’histoire de ces étangs, me montrer de nombreux hérons et grues et me détailler leur parcours de migration. Antonin anime ainsi, plusieurs fois par an, ce que l’on appelle des rencontres naturalistes. Elles ont lieu « du mois de mars au mois de juin et en septem...
A Puplinge et Choulex, la surpopulation carcérale pèse aussi sur les riverains. Ils décrivent les bruits, la lumière au quotidien ou leur sentiment de sécurité, en attendant l’agrandissement de la prison. Choulex, Puplinge, leurs villages, leurs champs, leur prison. Avec plus de 800 occupants pour 376 places, la pression sur les détenus et employés de Champ-Dollon ne cesse de s’accroître. Et autour d’elle, des habitants qui subissent la présence d’un centre pénitentiaire en voie d’extension (lire la «Tribune de Genève» du 7 juin). A vrai dire, la prison se situe sur le territoire de Puplinge, mais c’est à Choulex que se trouvent les riverains les plus proches géographiquement. En premier lieu, ils décrivent le bruit au quotidien, avec des niveaux variables selon le vent et les saisons. «J’...
Parents, grands-parents, oncles, tantes, nounous, nous avons tous un jour cherché comment occuper des enfants durant un après-midi. Or, c’est bien connu, les enfants aiment les animaux et adorent leur rendre visite. Oui, mais en dehors du bois de la Bâtie et du jardin botanique, il ne semble pas y avoir beaucoup d’animaux à contempler à Genève. Pourtant, il suffit de sortir de la ville et de parcourir la campagne, pour découvrir de nombreux élevages privés. Cochons, biquettes, lamas, ânes, moutons, poules, oies, …., s’ébattent en liberté et ne demandent qu’à recevoir de la visite. Si la météo le permet, enfourchez donc votre vélo et partez à la rencontre de ces animaux, qui raviront petits et grands. Puplinge : un âne et des cochons laineux Débutons notre b...
Si vous vous êtes déjà promené dans les communes du bord du lac et de la campagne genevoise, vous avez peut-être remarqué qu’elles regorgent de lieux-dits et de hameaux aux noms insolites ou évocateurs. Petite balade à la recherche de ces lieux aux noms originaux. – La Savonnière : sur la commune de Collonge-Bellerive. Ici, pas de fabrique de savons, mais une jolie plage au bord du lac, actuellement en travaux. – La Solitude : sur les quais de Corsier, ce lieu-dit vous permet de contempler le lac en toute tranquillité. – La Californie : malgré son nom plein de promesses, vous n’y trouverez ni palmiers, ni plages à perte de vue, mais un quartier d’habitation sur les hauteurs de Vésenaz. – La Belotte : à défaut de pouvoir jouer aux cartes, vous découvrirez un joli re...
En 1990, le DIP (Département de l’instruction publique), le collège de Bois-Caran et la commune de Collonge-Bellerive, décident de créer l’association Communes-école, afin de proposer des cours aux habitants des communes proches. Ils souhaitent les organiser à destination des adultes et à des prix raisonnables. L’idée séduit rapidement d’autres communes et, depuis 1994, elles sont douze (Anières, Choulex, Collonge-Bellerive, Cologny, Corsier, Gy, Hermance, Jussy, Meinier, Presinge, Puplinge et Vandoeuvres) à financer l’association, avec le soutien de l’État de Genève et du DIP. Des cours pour tous et pour tous les goûts Les années ont passé et l’association a grandi, proposant toujours plus de sujets et d’enseignements aux habitants. Cette an...