Le samedi 15 octobre dernier, l’une des nombreuses salles du complexe culturel du Grütli accueillait les démonstrations d’une bien curieuse méthode, dénommée Feldenkrais. Quelques jours après l’événement, je rencontre sept de ses praticiennes, le « noyau dur » de l’association genevoise. Nous revenons sur cette journée-découverte du week-end précédent : « Nous avons reçu un public jeune, 30-40 ans en moyenne », commence l’une. « Avec aussi quelques personnes âgées », poursuit une autre. « C’était un public curieux, précise une troisième voix, un public déjà préparé, qui venait avec des questions précises. Des personnes sans doute déjà engagées dans d’autres méthodes, à la recherche de quelque chose de nouveau. » Beaucoup de gens qui avaient déjà en...