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Prostitution

Interdit de photographier

Nous nous promenions aux Pâquis, un soir d’hiver particulièrement frais, avec un ami amateur-photographe. Vous vous en doutez, nous prenions quelques photos de mon quartier afin que je puisse les envoyer à la rédaction de Signé Genève. Tout allait pour le mieux, nous divaguions en quête de points de vues intéressants et photogéniques ; du bord du lac jusqu’au sommet des immeubles gris, notre pellicule s’inspirait. Les Pâquis étant un quartier magnifique malgré certaines apparences trompeuses, nos yeux n’avaient pas le temps de trouver l’ennui. Malheureusement, arrivés à un croisement, nous fûmes stoppés net dans notre lancée photographique. En effet, nous avions décidé d’aller au milieu du carrefour pour prendre des photos et capter ainsi la longueur des rues l’entourant. Mais certaines fi...

Depuis la fenêtre…

Dans la cité de Calvin, lorsque l’on cherche à se faire un petit plaisir discret et nocturne, on sait exactement où aller… A la rue du Rhône! Mais non voyons, qu’est-ce qu’on irait faire là-bas à 3h00 du matin ? A Champel peut-être ? Encore moins ! Allez ! Vous comprenez bien à quel type de plaisir je fais référence… Ou bien? Rendons-nous aux Pâquis, à la rue Sigismond-Thalberg. Ici pas de prostitution. Pas à l’entrée des immeubles, en tout cas. On en retrouve seulement dans les rues voisines. Pourtant, de l’autre côté de ces immeubles, séparés par une cours, se trouve l’un des nombreux bâtiments abritant ces studios qui accueillent les clients. C’est en fumant une petite clope sur son balcon par exemple que l’on peut voir, peu importe l’heure et le jour, des hommes, souvent d’âge mûr, acc...

En vitrine aux Pâquis, comme à Amsterdam

On croirait presque un slogan EasyJet, en moins de temps qu’il ne faut, retrouvez vous devant une vitrine d’Amsterdam…aux Pâquis! En effet, depuis 2010, on voit fleurir ci et là des vitrines derrière lesquelles des dames de petite vertu en sous-vêtements attendent ou appâtent le chaland. Les résidents du quartier n’y prêtent plus aucune attention alors que les passants occasionnels sursautent devant ces vitrines d’un nouveau genre à Genève. Autant le Golden Sex Center (angles rues Sismondi et Charles-Cusin) peut éventuellement laisser planer un très lointain doute sur l’activité de ce commerce, autant l’Hôtel Barillon (rue de Berne) avec son enseigne « hôtel » et les quilles de stationnement réservées à la clientèle de l’Hôtel ne trompe personne. En demandant à une patrouille de police à p...

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