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Vie nocturne

Bars Genève, le super-héros des nuits genevoises

Mon anniversaire approchant à pas de géants, je décide d’organiser une petite sauterie des plus exquises. Oui, le genre de soirée intimiste avec mes acolytes de toujours, mêlant discussions, éclats de rires et pas de danse improbables entre deux cosmos. Eh oui que voulez-vous, 27 ans ça se fête ! Seulement et c’est là où le bât blesse, impossible de faire un choix parmi la flopée de bars qu’offre la cité de Calvin ! Mais alors comment faire ? Je lance dans un premier temps un appel de détresse -non pas en morse- mais dans un post sur mon réseau social préféré. Et là…un bide, aucune réponse ! Devant cet échec cuisant et mon désespoir grandissant de me retrouver dans le même bar que l’année passée (me remémorant ainsi que je bascule gentiment du côté obscur de la force), je me rappelle...

Soirée Las Vegas Parano au Mambo : bilan

Les femmes et les hommes, pour la plupart,  semblaient sortir tout droit d’un casino de Las Vegas, équipés de larges lunettes, de bling-bling  colorés et de visières vertes. Des dés rougeoyant se déplaçaient en l’air de mains en mains, de têtes en têtes, l’on aurait dit qu’implicitement un nouveau sport était né dans cette cage musicale et dansante. Sur les tables basses, des roulettes à shots trônaient fièrement, près d’un bac à glaçons, et tout ce qu’elles attendaient étaient d’être tournées, quant aux verres, d’être remplis et aussitôt vidés. Il y eut même un magicien qui pointa le bout de son pouvoir. Ses tours, il fallait les voir pour y croire : les cartes bougeaient toutes seules, les gens se faisaient littéralement hypnotiser, il semblait lire dans nos esprits et j’en passe, ce Gan...

Ecole-de-Médecine: un nouveau bar exacerbe la concurrence

Début octobre, la rue prisée par les 20-30 ans pour ses bars a accueilli un petit nouveau. «Le Bout d’la Rue», dont le nom fait référence à son emplacement, succède au «Café Sud», fermé depuis cet été. Reçu avec grand enthousiasme par les consommateurs, moins par les voisins, il devra se plier aux mêmes restrictions que ses concurrents, victimes de leur succès. Dès son ouverture, «Le Bout d’la Rue» a suscité un vif intérêt auprès des habitués de la rue de l’Ecole-de-Médecine. Ils ont été nombreux à se ruer «au bout de la rue» pour découvrir ce nouvel espace. Le concept est simple et efficace : décor épuré, quelques tables en bois, des murs noirs jonchés de tableaux et d’ornements comme dessinés à la craie. Un design qui rappelle celui du Kraken ou du Volt, établisse...

Morceaux choisis de vie aux Eaux-Vives

Ah les Eaux-Vives…Admirez donc la vue imprenable sur le jet d’eau que l’on a depuis certaines rues du quartier. Qu’il fait bon flâner sur les quais, entouré soit d’amateurs de course habillés en fluo – comme un relent des années quatre-vingt -, soit d’une foule endimanchée et non moins bigarrée, se délectant de cornets glacés. Sans oublier « Baby-Plage », véritable petite langue de sable ombragée devant se départager entre les estivants et quelques cygnes téméraires, une fois les beaux jours arrivés. La Rade, scène de rencontres naturelle, est capable de nous offrir des panoramas à couper le souffle, même celui des plus hardis. Ça, c’est pour ceux qui ont des envies de grand large. Mais, une fois à l’intérieure des terres ( !) – au sein même du quartier et de ses allées colorées par les de...

Pas de tente, pas de Zooloo Festival!

Devenu rendez-vous incontournable de la rentrée versoisienne, le Zooloo Festival aurait fêté ses sept ans en septembre de cette année. Mais les plus observateurs l’ont peut-être déjà remarqué : les premiers préparatifs, comme la sélection des groupes, qui sont d’habitude visibles sur Facebook à cette période, sont inexistants. Car, mauvaise nouvelle, l’année 2013 sera une année sans Zooloo ! Enfin du mouvement à Versoix ! Si l’on connaît bien les Caves de Bon-Séjour, on ne peut toutefois pas comparer les concerts qui s’y déroulent avec le Zooloo. Une fois par an, on peut sortir à Versoix ! D’ordinaire, les jeunes Versoisiens passent peu de soirées dans leur ville ; on prend le train pour Genève et on ne revient qu’à la fin de la nuit, en s’endormant dans le Noctambus bondé qui nous ramène ...

La galère du Noctambus, scénario courant du week-end

Samedi soir, scène classique de la vie nocturne des Versoisiens qui rentrent chez eux après une bonne soirée. Amassés sur le quai, une trentaine de jeunes attendent le Noctambus. Le bus ND, qui ramène les fêtards les moins tardifs jusqu’à Gland, arrive à 1h45 du matin à la gare Cornavin. Comme souvent, il est vite assailli par de nombreuses personnes, et même les places debout se font rares. Cette fois-ci particulièrement: le train de 1h19, passant également par Versoix, a été annulé. Les noctambules surpris par cette nouvelle se sont rabattus sur le ND. Le trajet débute dans un calme relatif, dans les rires et exclamations de personnes plus ou moins éméchées, qui font froncer les sourcils de ceux qui tombent dans un sommeil comateux. Quand soudain montent à l’arrêt Nations une armée de co...

Comment les bars de la périphérie ont évité la fermeture à minuit

Les tenanciers de bars et de discothèques jonglent entre clients festifs et bon voisinage. Pour eux, être situé à Meyrin, Thônex ou au Grand-Saconnex est un atout. Jamais José Antonio Guardiola ne retournerait au centre-ville. Et pourtant, cet Espagnol au bagout entraînant y a possédé plusieurs établissements par le passé. Désormais, il est le patron du G Bar, l’un des rares bistrots du Grand-Saconnex ouverts jusqu’à 2 heures du matin. «Quand l’opportunité de reprendre l’affaire s’est offerte à moi il y a douze ans, je n’avais mis les pieds dans la commune qu’une fois ou deux», se souvient-il. Aujourd’hui, il dit tenir le coup bien que «les deux dernières années n’aient pas été simples». Mais plus que tout, au moment où la vie nocturne vit une période de troubles – en témoigne le tollé cau...

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