Actu

Onex met ses livres en libre-service

Depuis le mois de décembre dernier, un coin a été aménagé au Service Jeunesse et Action Communautaire (SJAC). Son nom: Café-livre-échange. A la maison Onésienne (rue des Evaux 2), on peut donc désormais déposer des livres et en prendre en toute liberté. On peut aussi venir sans rien et repartir avec des bouquins sous le bras. De même, on peut profiter de l’espace et de la tranquillité à disposition pour lire sur place. Contrairement à une bibliothèque classique, ici pas de formulaire à remplir, pas de caution à verser car tout est basé sur la confiance. «Quand on n’est pas là, les gens ont la possibilité de se servir sur les étagères et de déposer des bouquins dans une caisse à l’accueil», explique Esmeralda Rodrigues, bénévole. L’idée de créer cette bibliothèque vient de sa collègue, Rosa...

Vols et cambriolages: vivre à la campagne est-il synonyme de sécurité?

Ce n’est plus un secret pour personne, depuis quelques années Genève détient le triste record de la ville suisse la plus criminogène, Rien qu’en 2011, près de 73’000 infractions au Code pénal – dont 60% de vols, cambriolages et brigandages – ont été enregistrées dans le canton (consulter le rapport annuel 2011 Statistique policière de la criminalité). La majorité des crimes et délits commis le sont en centre-ville (217 infractions pour 1000 habitants enregistrés en ville de Genève, en 2011) et dans les communes de périphérie. La campagne genevoise semble pour sa part plus à l’abri (taux d’infractions par habitants allant de 90/1000 à Jussy à 33/1000 à Choulex), comme le montre la carte interactive de l’Office fédéral de la statistique. Pourta...

Le curé Desclouds, colosse et héros de Thônex

Il y a cinquante ans mourait ce prêtre dont un quartier porte le nom. Rares sont ceux qui connaissent l’histoire de ce «gaillard» hors norme au service des agents secrets durant la guerre.  Thônex, chemin du Curé-Desclouds. Immeubles modernes et béton. L’Autoroute blanche passe non loin, la frontière est à quelques encablures et la vue sur le Salève est imprenable. Mais au fait, c’est qui, le curé Desclouds? Le regard interloqué et le silence de deux jeunes du quartier en disent long. «Ça fait dix ans que j’habite ici et je ne me suis jamais posé la question», révèle l’un d’eux un brin gêné. Qu’il se rassure, rares sont ses voisins à le savoir. En revanche, lorsque la même question est posée à ceux qui l’ont côtoyé, le verbe abonde, les qualificatifs se succèdent: colossal, truculent, héro...

Le printemps serait-il arrivé?

En tout cas, les terrasses du bord du lac étaient ouvertes en ce lundi après-midi!

Actu | Lac

«Ça s’est passé comme ça» – Episode 6: La première fois

Et voilà, la série-web genevoise « Ca s’est passé comme ça » qui a fait un carton ces dernières semaines a sorti son sixième et dernier épisode il y a quelques jours. Les cinq jeunes créateurs de cette série prépare déjà une suite qui devrait sortir en septembre 2013. L’idylle entre Claire et Alexandre n’est donc pas prête de s’arrêter. En attendant, continuez à regardez les anciens épisodes.

Le salon de l’auto au Grand-Saconnex: qu’en pensent les voisins de Palexpo?

Près de 700 000 visiteurs sont attendus au Grand-Saconnex du 7 au 17 mars. Bien sûr, ils ne viennent pas forcément pour les charmes de la commune, mais bien pour les belles carrosseries exposées à Palexpo. Reste que pour les 12 000 Saconnésiens, la grand-messe de l’automobile chamboule le quotidien. Face à l’afflux de visiteurs qui transitent, occupent les parkings ou séjournent dans la commune, certains se frottent les mains. D’autres en revanche redoutent cette semaine particulière. Ainsi, les restaurateurs et les hôteliers font le plein: pour eux, il s’agit sans conteste de la semaine la plus importante de l’année. En revanche, les magasins de proximité tirent la langue face à la pénurie de places de parking qui effraie les clients habituels. Enfin, ceux qui ont vécu l’arrivée du Salon ...

Comment les bars de la périphérie ont évité la fermeture à minuit

Les tenanciers de bars et de discothèques jonglent entre clients festifs et bon voisinage. Pour eux, être situé à Meyrin, Thônex ou au Grand-Saconnex est un atout. Jamais José Antonio Guardiola ne retournerait au centre-ville. Et pourtant, cet Espagnol au bagout entraînant y a possédé plusieurs établissements par le passé. Désormais, il est le patron du G Bar, l’un des rares bistrots du Grand-Saconnex ouverts jusqu’à 2 heures du matin. «Quand l’opportunité de reprendre l’affaire s’est offerte à moi il y a douze ans, je n’avais mis les pieds dans la commune qu’une fois ou deux», se souvient-il. Aujourd’hui, il dit tenir le coup bien que «les deux dernières années n’aient pas été simples». Mais plus que tout, au moment où la vie nocturne vit une période de troubles – en témoigne le tollé cau...

Les interminables travaux de l’Avenue Mategnin à Meyrin

À Meyrin, l’Avenue de Mategnin est accablée de travaux sempiternels. Emplacement névralgique des restructurations, le croisement entre la Route H.-C. Forestier et l’avenue fait l’objet de mutations déroutantes pour les usagers du tronçon. Philippe Maag, chef adjoint du service de l’urbanisme, des travaux publics et de l’énergie, décortique les tenants et aboutissants de l’imbroglio routier. Assainissement et optimisation Les opérations sont avant tout des opérations d’épuration écolo-économique et sonore. Le volume d’eau, circulant dans les viscères souterrains du segment routier, surcharge les réseaux d’épurations des Services Industriels de Genève. La solution ? Séparer les eaux usées les eaux dites claires pour un traitement et une collecte optimale. À ces opérations communales s’ajoute...

A Onex, une pétition dénonce les nuisances sur la place du 150ème

Les riverains de la place du 150ème, à Onex, se disent lassés par les nuisances provoquées lors des manifestations organisées sur ce site. Depuis l’année dernière, une pétition a été lancée pour demander aux autorités communales de remédier au plus vite à cette situation. Sur la place du 150ème, la neige tombée en début de mois fond petit à petit. Le site est calme. De l’autre coté de la rue du Vieux-Moulin, à côté du terminus des bus 2 et 19, se tient un chantier. Mais les vrombissements des marteaux-piqueurs ne perturbent en rien les chants d’oiseaux qui bercent les promeneurs de chiens et les passants. Depuis plusieurs années la place du 150ème reçoit des manifestations de tout genre: cirques, fêtes, barbecues, vides greniers etc…Les règles qui régissent ces lieu...

Accident à Thônex

Mardi 26, vers 16 heures 45, accident sur la ligne du tram 12 à l’arrêt de la place Graveson. Les trams et bus sont arrêtés. Quatre voitures de polices sont sur les lieux, ainsi que la Cardiomobile et plusieurs sauveteurs. Ils sont affairés autour d’une personne au sol recouverte partiellement d’une couverture de survie. L’accident semble grave. Un service de navette va être mis en place pour pallier à la mise en arrêt des trams, entre la place Favre et Moillesullaz.

Les mégots, ce fléau

Scène apparemment anodine à la Place de Cornavin. Des agents d’entretiens ont ouvert les grilles du caniveau servant à l’évacuation des eaux de pluie. Et là, le constat saute aux yeux : les canalisations sont complètement obstruées par une légion de mégots. Alors, à priori, on s’en fiche. Ce n’est pas chez nous et surtout ce n’est pas à nous, passants et fumeurs, de nettoyer. Dans la vie, il y a pire, la cigarette est un moment de détente et de relaxation sans conséquence autre que pour sa santé. Vraiment ? L’ Université de Neuchâtel rappelle que les mégots de cigarette s’accumulent rapidement et représentent 20 tonnes de déchets par année en Suisse. Le mégot (ou le filtre) en soit n’est pas dangereux. Mais une fois la cigarette consommée, c’est là où se concentrent tous les produits...

Le dimanche, la Praille devient la nouvelle place du village

Les dimanches à la mauvaise saison, lorsque la température ne décolle pas du zéro et que la météo est à la pluie ou à la neige, il est un lieu entre Lancy, Plan-les-Ouates et Carouge qui accueille tout un public de jeunes et de familles : Le centre commercial et de loisirs de la Praille. Alors même que la plus grande partie des commerces est fermée, des familles y déambulent et font du lèche-vitrine; des ados et des jeunes adultes profitent des coins fauteuils installés aux différents étages du centre. Des scènes qui se répètent dimanche après dimanche.  Qui sont-ils ? Et que viennent-ils faire là ? Deux jeunes filles pianotant sur leurs smartphones ont bien voulu répondre à ces questions, pendant qu’à côté d’elles, d’autres jeunes essayaient les fauteuils de massage élec...

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