Environnement
Mais que fait un iceberg à Uni Mail?
Le bâtiment d’Uni Mail est un espace public : quel étudiant n’a jamais croisé un groupe du jardin d’enfants s’extasier dans le hall central, un type du quartier en pantoufles utiliser les bornes Internet libres d’accès, ou encore ces fameux hommes plus tout jeunes qui tapent le carton à une table de la cafétéria en fin d’après-midi ? Si donc vous décidez de traverser le bâtiment cette semaine, vous risquez d’être surpris : au milieu du hall central, face aux marches géantes, trône depuis quelques temps déjà un… iceberg ! Pas un vrai, d’accord, mais une sorte de ballon gonflable à la forme de montagne, qui se dégonfle d’ailleurs peu à peu… Les premiers jours, il s’agissait d’une opération teasing. L’iceberg ...
J’ai mis en route le Jet d’eau à Genève.
Jeudi 23 mai 2013, j’ai mis en route le symbolique et puissant Jet d’eau de Genève! Et je n’étais pas seule transie de froid pour visiter l’antre de sa “majesté” et appuyer sur le bouton d’allumage à 9h00! D’autres passionné(e)s de l’écriture et des curiosités genevoises étaient au rendez-vous.
Le jardinage, ça s’apprend!
Ce printemps 2013 n’est pas un printemps comme les autres, c’est le principal sujet de conversation des Français, des Suisses, des Genevois et bien sûr des Carougeois. Même si la Dame Hiver a été solennellement brûlée et si le Printemps carougeois fut si festif, tout le monde s’en plaint. Pourtant la nature poursuit son travail en silence et si la température est quasi hivernale, les fleurs des arbres ont éclos et ont déjà disparu et les nouveaux feuillages se sont développés comme si de rien n’était. Question jardinage, cette drôle de saison nous a réservé des surprises. Lors des belles journées du mois d’avril (rappelez-vous le 17 avril, une folie de soleil et de fleurs !), j’ai eu la surprise de découvrir des tulipes, que je n’avais jamais vues les années précédentes. C’est Madame Da C...
Quelle est belle la campagne genevoise sous le soleil !
Le soleil se fait rare en ce printemps pluvieux. Mais lorsqu’il daigne se montrer, la campagne genevoise se pare d’une belle couleur jaune, grâce au champs de colza en fleurs.
Les jeunes marronniers de Carouge, pavés et libérés!
Plantés en février, deux jeunes marronniers sont maintenant en fleurs et surtout libérés des barrières qui les encerclaient. C’est qu’il fallait repaver le sol autour d’eux. Opération fort difficile et pénible à laquelle se sont attelés deux apprentis maçons-paysagistes, formés par la Ville de Carouge, Jonathan Lopez, 3ème année, et Kevin Schneg, 2ème année. C’est une des techniques apprises dans le cadre de leur apprentissage. Au Portugal, le métier de paveur existe à part entière. Il faut travailler à genoux, le dos courbé, et casser la pierre pour qu’elle s’ajuste au plan du pavement, en arrondi autour des arbres. Après plusieurs jours de ce rude travail, les apprentis ont encore enlevé les barrières et parsemé le sol de sable, qui au gré des pluies va s’insérer entre les pavés et c...
La course de cochons, star de la vogue de Jussy
Dimanche 5 mai, le soleil s’est enfin décidé à briller sur la campagne genevoise. Tant mieux, car depuis la veille, les Jusserands font la fête, pour la fameuse Vogue de Jussy. Cela fait maintenant plus de 100 ans que cet événement champêtre est organisé chaque année. Des cochons pour assurer le spectacle En ce dimanche ensoleillé, il y a foule dans le village. Petits et grands profitent des animations et stands proposés : casse-bouteille, montée de caisses, manèges, restauration, concert, …. Dans un coin, des cochons roupillent, pas le moins du monde perturbés par le bruit ambiant. Vers 15h30, l’excitation commence à gagner le public. Mais que se passe-t-il ? La foule se presse aux abords du circuit, installé au centre de la pelouse. C’est la célèbre course aux coc...
Un renard vu sur la place du 150ème à Onex
Selon un témoin, un renard a été récemment aperçu sur la place du 150ème, à Onex. Cela requiert un maximum de prudence, car les goupils ont déjà fait des ravages sur cette commune. L’année dernière ils ont surgi dans un poulailler tuant neuf volatiles. C’est souvent au mois de mai que les renards mettent bas. Ils sont ainsi obligés de sortir de leur terrier pour fouiller des poubelles en milieu urbain à la quête des proies pour nourrir leurs petits.
Le geste écolo
Dans la campagne de Gy, ce panneau accueille désormais les visiteurs et habitants, planté au bord d’une route plutôt fréquentée. Il invite à ne pas jeter les déchets dans la nature. Bien, tout le monde le sait. Sauf qu’un petit rappel de temps en temps ne fait pas de mal.
Parquer son vélo à la gare, la galère!
A l’heure de pointe d’une journée printanière, parquer son vélo aux abords de la gare Cornavin peut s’avérer complexe et chronophage. En arrivant côté lac, l’amas de deux-roues est presque devenu une forme homogène. Il y a là quelques épaves. Les plus heureux ont bénéficié des rares structures existantes qui permettent d’attacher sa bécane. Les autres se sont contentés d’exploiter la promiscuité pour la faire tenir debout. Quant à la vélostation de Cornavin, non merci. Il n’est pas question de payer pour quelques minutes. Bref, on ne sait toujours pas où poser son vélo. Signe de la gravité de la situation, même les poteaux d’un mètre de haut sont tous enlacés par les cadenas. Vous n’y voyez rien d’anormal ? Songez au voleur de bicyclette qui aura tout loisir de la soulever pour s’en...
Merlinge l’enchanteuse
Depuis le centre ville, prenez le bus A, comptez 20 minutes de trajet et arrêtez-vous à l’arrêt Merlinge. Vous voilà à Gy, en plein cœur de la campagne. En face de vous un petit coin de paradis : la ferme de Merlinge. Une histoire de fruits La famille Chollet exploite cette ferme depuis bientôt 100 ans. En 1989, Thérèse Chollet décide de se lancer dans l’agro tourisme. Si cette activité est aujourd’hui en vogue, cela n’était pas le cas à l’époque et la famille Chollet est une pionnière dans le domaine. « Il a fallu environ 10 ans pour faire connaître nos activités et pour que les affaires commencent à marcher», précise Thérèse Chollet. Tout a débuté grâce aux fruitiers de la propriété. « Nous laissions pourrir chaque année d’énormes quantités de fruits sur les arbres. Cela me rendait malad...
Derrière la façade de l’entrepôt, des légumes genevois et de saison
L’agriculture locale permet de se fournir en légumes frais, et d’apprendre à cuisiner avec les saisons Une envie de soutenir l’économie locale vous démange ? De bénéficier de toute la fraîcheur et de la valeur nutritionnelle des légumes qui arrivent dans notre assiette ? De réduire notre impact environnemental. De pouvoir expliquer d’où les produits que nous mangeons proviennent ? Tout cela est possible en alignant notre consommation de produits frais sur les saisons, et avec un brin d’imagination, de mijoter des plats savoureux. D’autant plus qu’à Genève, nous avons la chance d’avoir une Union Maraîchère permettant aux producteurs genevois d’approvisionner nos tables en primeurs, au rythme des saisons. Avec le printemps qui s’installe et le retour du soleil, nous souhaitions remplir notre...
Le mystère des volets verts
Au gré de vos promenades dans la campagne genevoise, vous avez peut-être déjà remarqué que de nombreux immeubles et maisons, anciens ou récents, arborent des volets d’un vert très particulier : un vert d’eau. Les villages de la rive gauche du lac en regorgent, tout comme la France voisine. J’habite moi-même dans un immeuble aux volets verts et lorsqu’il a fallu les repeindre, la régie n’a émis qu’une seule consigne : respecter cette couleur, à la nuance près. Un mystère Intriguée par ce vert, j’ai voulu en connaître l’origine, mais j’ai eu beau fouillé le web et questionner diverses personnes, je n’ai trouvé aucune explication. Cette couleur verte, si caractéristique de la région genevoise, a-t-elle une origine historique ? Ou est...
