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Vivre en colocation estudiantine? Non, en copropriété

A deux pas de la Jonction, au Boulevard Carl-Vogt 7, existe depuis plus de trente ans une colocation associative d’étudiants. Rendez-vous avec ces six « coloc » pour comprendre un mode de vie particulier. Entre auto-gestion de l’appartement, jobs pour assurer leurs études et les cours, chacun amène sa touche de vie. Portrait d’une colocation pleine de charme et de diversité. Une envie communautaire qui vient de loin. Au quatrième et cinquième étage, ces jeunes, trois filles, trois garçons, tous âgés de 23 à 27 ans, sont plus que de simples colocataires. Ils sont co-propriétaires et s’auto-gèrent par le biais de l’AHC, association de l’habitat collectif. Depuis plus de trente ans, deux étages de cet immeuble sont à disposition de jeunes étudiants pour une...

Baby-Plage dit au revoir à ses jeux

Jean Georges Ernst et Claudia Blaser poursuivaient aujourd’hui le démontage des jeux de Baby-Plage, débuté samedi dernier. Malheureusement, l’Association Cheetah n’a en effet pas pu rendre ses installations conformes aux normes européennes. C’est bien dommage car le lieu remportait un énorme succès auprès des enfants. Une pétition en ligne a été lancée si vous souhaitez les soutenir.      

Le stade d’Onex, trop petit, trop vétuste

Les responsables du FC Onex souhaitent de meilleures installations. Leur club grandit et la place commence à manquer. Stade Municipal d’Onex, il est 19 h. Les lampadaires éclairent le terrain A, situé juste aux abords de l’unique bâtiment que compte l’ensemble. L’entraînement s’intensifie. Les sueurs qui dégoulinent des footballeurs en pleine activité se mélangent aux gouttes de pluie qui tombent depuis l’après-midi sur la ville. En contrebas, le terrain B accueille aussi une séance d’entraînement. En cas de mauvaises conditions climatiques, ces deux surfaces en herbes deviennent impraticables. «Plusieurs matches ont été reportés en plus de nombreuses séances d’entraînement annulées», explique Orazio Margarone, président central du club. Ce soir-là, j’ai eu droit à une visite guidée des in...

Les écrivains publics de la rue de Carouge, plus utiles que jamais

Au centre d’intégration culturelle, ces scribes modernes ne chôment pas. Une permanence d’urgence vient d’ouvrir pour les «nouveaux» migrants. Voilà ce qu’ils disent tous: «A Genève, difficile de se faire comprendre quand on vient d’arriver». Tous, ce sont ces dizaines de migrants qui empruntent l’escalier étroit de la rue de Carouge pour rejoindre le Centre d’intégration culturelle de la Croix-Rouge genevoise (CIC). Dans le saut-de-loup, la bibliothèque est foisonnante et internationale: 33 000 ouvrages, du farsi au mongol, de l’albanais à l’espagnol. Puis, au bout du couloir, un cagibi discret de quelques mètres carrés, où l’écrivain public fait face à son interlocuteur lors des quatre permanences hebdomadaires. Les activités d’écriture concernent principalement les démarches administrat...

Transports publics à la croisée de Confignon: quel bilan?

Après presque deux années d’exploitation, le tram fait partie du quotidien des habitants de la Champagne. A ce titre, il alimente les discussions des citoyens, entraînant des débats sans fin sur les bienfaits ou catastrophes qu’il  aurait engendrés. La Croisée de Confignon est l’un de ces points névralgiques qui concentrent les critiques ou louanges des usagers. Son statut intermédiaire, entre le tram 14 en provenance du centre-ville et les bus de campagne (L, K, 42 et S), entraîne des mécontentements relatifs aux connections. « Pas de gros problèmes, mais… » En effet, les usagers du tram sont plutôt contents de celui-ci, à l’instar de Rodrigo : « Je suis satisfait même si parfois il y a des retards. On rejette toujours la faute sur les TPG, mais, lorsqu’il y a ...

Chêne-Bougeries vire au bleu

Le projet était annoncé depuis plus d’une année, c’est désormais chose faite. Après son voisin Chêne-Bourg, c’est au tour de la commune de Chêne-Bougeries de repeindre ses places de stationnement en bleu. Il n’est désormais plus possible de déposer sa voiture plus d’une heure dans ces espaces, à moins de posséder un macaron, accessibles aux habitants pour la somme de 200 francs par année. Une transformation qui modifie les habitudes de nombreux automobilistes qui profitaient des nombreuses places présentes dans la commune durant des journées entières. «Nous souhaitons limiter le stationnement de longue, voire très longue durée des pendulaires qui cherchent à se rapprocher du tram ou du bus, souligne Raphaël Gailland, secrétaire général de la mairie de Chêne-Bougeries. Et ainsi libérer le d...

Nouvel espace de coworking à Genève

Un nouvel espace de coworking ouvre ses portes à la rue de Carouge 83,son nom ? Cric Crac Croc. 18 places de travaillent, un espace détente et de réunion, un coin cuisine sont à votre disposition. Envie d’échanger, de partager et surtout de rencontrer de nouvelles personnes alors rendez-vous chez Cric Crac Croc

« A Bon Entendeur », les mots d’un labélisé

Le 31 janvier 2012, Inglewood, novice genevois sur le marché du hamburger, est primé par le magazine phare de la RTS « A Bon Entendeur ». Rétrospective avec Maïko, cofondateur de l’enseigne. Novembre 2011, un nouveau restaurant ouvre ses portes à deux pas de Plainpalais. Comme beaucoup d’autres, il se place sur le marché désormais très en vogue du mondialement célèbre hamburger. « Notre but était de faire un restaurant de burgers, sans prétentions, livre Maïko, cofondateur de l’enseigne. Mais sans que ce soit un fast-food. Un peu comme on en trouve au Canada ou aux Etats-Unis. » Inglewood naît de l’initiative de deux frères : Bastien, 24 ans, et Maïko, 26 ans. Le premier est menuisier, le second est adepte de snowboard. Fans de hamburger, mais aucune formation en cuisine, ils se lancent da...

Corsier veut améliorer la sécurité sur le chemin de l’école

A Corsier, l’association des parents d’élèves (APEC) invite actuellement les parents à signer une pétition pour améliorer la sécurité sur le chemin de l’école. Au fil des mois et des années, l’APEC, en concertation avec la mairie et les parents d’élèves, ont, en effet, relevé de nombreux points problématiques sur les routes de la commune. Un village coupé en trois Pour bien comprendre le problème, il faut connaître le village et sa configuration très particulière. La commune de Corsier est divisée en 3 parties : Corsier village, au centre, organisé autour de l’église, de l’école et de la mairie. Corsier port, au bord du lac et le quartier de Bellebouche qui s’étend jusqu’à Gy et Veigy-Foncenex. Ces 3 parties sont séparées par deux grands axes routiers très fréquentés, la route de Tho...

La bise noire balaie la rade. Envoyez-nous vos images!

Une forte bise a balayé la Cité de Calvin ce vendredi matin. L’occasion pour les photographes amateurs de saisir quelques jolis clichés, notamment au bord du lac où de grosses vagues venaient se briser. Si vous aussi vous avez réaliser de belles images de la bise, n’hésitez pas à nous les envoyer (accompagnées d’une brève légendes et de vos nom et prénom) à l’adresse suivante: redaction@signegeneve.ch, nous les ajouterons à notre album en ligne.  

Conducteur de tramway, un métier sous tension

Après un an aux TPG, un employé se confie sur son poste de travail qu’il apprécie tout particulièrement «Conduire un tram, c’est être continuellement vigilant», affirme d’entrée Francesco De Sabato. Italien d’origine et âgé de vingt-sept ans, Francesco travaille pour les Transports Publics Genevois depuis maintenant un an. Après une formation théorique d’un mois et demi, de conduite accompagnée et d’examens théoriques et pratiques, conduire seul est pour lui un plaisir. «Je conduisais des bus durant ma formation militaire en Italie et j’adorais cela. Alors quand j’ai vu les pancartes des TPG proposant des postes de conducteurs, je n’ai pas hésité une seconde !», rapporte le Genevois. Pas de routine qui tienne Contrairement aux idées préconçues, les journées ne sont pas ennuyantes pou...

Une page se tourne à la ferme de Merlinge

Le propriétaire pousse la famille Chollet au départ, après une querelle de voisinage tranchée par le Tribunal fédéral. Depuis des générations, ces fermiers exploitaient le domaine très fréquenté de Meinier. Le poney et l’ânesse sont partis la semaine dernière chez leurs nouveaux propriétaires. Il ne reste qu’une oie, quelques poules et Thérèse Chollet s’excuserait presque: «On voit déjà le déclin, dit-elle la larme à l’œil. Je n’ai jamais cru qu’il faudrait partir, mais on a toujours été soutenu moralement.» Au mois de décembre, les Chollet quitteront la Ferme de Merlinge au terme de huit années de conflit avec les propriétaires du domaine. Un dénouement qui met fin à trente-huit ans de présence du couple aux commandes de cette ferme de la route de Gy à l’avant-garde en matière de vente di...

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