Malgré 3 ans d’absence due à la Covid19, la Trans’Onésienne reprend au petit trot ses droits. L’édition 2022 qui a coïncidé avec le 50è anniversaire prouve que les organisateurs et les athlètes ont encore du souffle pour éterniser l’une des plus grandes courses pédestres de Genève. Le responsable de l’organisation, Daniel Cattani nous parle de l’épreuve du 19 novembre sans oublier quelques innovations opérées avec succès. Signé Genève : Avec l’édition 2022 qui a eu lieu le 19 novembre dernier, peut-on dire que c’est la grande reprise de la Trans’Onésienne ? Daniel Cattani : Oui c’est la reprise de la course dans sa formule habituelle avant la crise liée à la COVID-19. Après 3 ans d’absence dans le Vieil Onex, les coureurs et coureuses ont pu se mesurer à nouveau ensemble sans aucune contra...
L’Association EcritureS Onex vous invite à participer à son 11ème concours d’écriture. Le thème est: « Moi aussi ! ». La forme du texte est libre, écrit au JE. Se tourner vers soi et laisser l’imagination ou les souvenirs nous guider. Délai pour envoyer son texte : 26 mars 2023. Des prix attendent les trois textes choisis par le jury. Les résultats seront dévoilés lors de notre soirée annuelle, le vendredi 2 juin 2023. Nous avons hâte de vous lire. Règlement du concours sur notre site : www.aeonex.ch
Vous avez été nombreux à le découvrir lors de l’émission « un marathon sans fin » sur la RTS. La chaîne de télévision avait eu l’idée de réunir des Romands en vue de leur faire courir le Marathon de New York. Beaucoup d’entre vous ont pu suivre le parcours de ces cinq candidats, les ont soutenus et ont parfois souffert avec eux tout en leur tirant le chapeau.Eric Frachon, employé de banque à Genève, a fait partie de ceux-là. Il est rentré de New York, fraîchement médaillé de ce marathon mythique et nous raconte son périple. Remontons d’abord à fin 2019. Une annonce sur la RTS recherche des candidats non sportifs prêts à relever le défi de courir le marathon de New York à l’automne 2020. Un pari fou… pour une personne pas habituée à ce genre d’exercice. Mais, aussi surprenant qu...
Le canton du bout du lac ne manque pas d’instruments à même de se mettre au service de la liturgie. Genève, Carouge, Lancy, Bernex ou Veyrier pour ne citer qu’elles ont leurs orgues. De taille et d’ancienneté variables. Dans quatre jours, soit le samedi 19 novembre, Compesières fêtera le centième anniversaire du sien. L’instrument qui a vaillamment traversé le XXe siècle, a été fabriqué par un facteur d’orgue genevois nommé Tschanun en 1922. Il comporte 17 jeux et a bénéficié de deux rénovations, une en 1954 et l’autre en 1977. De nos jours, il fait l’objet de services d’entretiens réguliers. Le premier organiste titulaire fut le compositeur André François Marescotti, un Carougeois. Puis, Bernard Gaud, un paysan de Charrot prend le relais, pendant plus de soixante ans. Nouveauté dans...
Installée depuis un an dans son atelier à Carouge, Gaëlle Mot y expose ses tableaux de Genève et du Léman. Il semble que le lac ait été inventé pour être peint par l’artiste Gaëlle Mot qui décline sous toutes les coutures son personnage principal scintillant et chatoyant. Le plongeoir dans les nuages, le phare solitaire des Pâquis, le jet d’eau à contre-jour… sont une déclaration d’amour à sa ville d’adoption. Peintre française, Gaëlle Mot vit et travaille à Genève où elle enseigne la peinture à l’huile. Les cours de peinture se déroulent le mercredi soir, le jeudi matin et le jeudi après-midi. Elle organise des stages ponctuels. Le prochain stage aura lieu le week-end des 19-20 novembre. Ses cours pour adolescents et adultes s’adressent à tous les...