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Ecole-de-Médecine: un nouveau bar exacerbe la concurrence

Début octobre, la rue prisée par les 20-30 ans pour ses bars a accueilli un petit nouveau. «Le Bout d’la Rue», dont le nom fait référence à son emplacement, succède au «Café Sud», fermé depuis cet été. Reçu avec grand enthousiasme par les consommateurs, moins par les voisins, il devra se plier aux mêmes restrictions que ses concurrents, victimes de leur succès. Dès son ouverture, «Le Bout d’la Rue» a suscité un vif intérêt auprès des habitués de la rue de l’Ecole-de-Médecine. Ils ont été nombreux à se ruer «au bout de la rue» pour découvrir ce nouvel espace. Le concept est simple et efficace : décor épuré, quelques tables en bois, des murs noirs jonchés de tableaux et d’ornements comme dessinés à la craie. Un design qui rappelle celui du Kraken ou du Volt, établisse...

Nos voisins les détenus de Champ-Dollon

A Puplinge et Choulex, la surpopulation carcérale pèse aussi sur les riverains. Ils décrivent les bruits, la lumière au quotidien ou leur sentiment de sécurité, en attendant l’agrandissement de la prison. Choulex, Puplinge, leurs villages, leurs champs, leur prison. Avec plus de 800 occupants pour 376 places, la pression sur les détenus et employés de Champ-Dollon ne cesse de s’accroître. Et autour d’elle, des habitants qui subissent la présence d’un centre pénitentiaire en voie d’extension (lire la «Tribune de Genève» du 7 juin). A vrai dire, la prison se situe sur le territoire de Puplinge, mais c’est à Choulex que se trouvent les riverains les plus proches géographiquement. En premier lieu, ils décrivent le bruit au quotidien, avec des niveaux variables selon le vent et les saisons. «J’...

La Jonction, une cacophonie permanente

Les récents aménagements ont fait monter les décibels dans ce quartier, considéré comme l’un des plus bruyants du canton. Avec quelles conséquences pour les habitants au quotidien? Il n’épargne personne. Aucune rue ou presque n’y échappe. De jour comme de nuit, un bourdonnement jamais en panne, jonché de klaxons, marteaux-piqueurs et vociférations. Comment vit-on dans l’un des quartiers les plus bruyants de Genève? «Au téléphone, mes copines me disent que je parle très fort. Pourtant, ce n’est pas dans ma nature», assure une buraliste qui vit et travaille à la Jonction. A la rue des Maraîchers, Gildo a élu domicile dans son atelier. Il est artisan et se considère comme un rare privilégié du quartier: sa rue est calme. «La journée, c’est le trafic et les chantiers qui se succèdent (ndlr: Mu...

La rue de l’Ecole-de-médecine est-elle toujours festive ?

L’affaire avait fait grand bruit. Sous prétexte de plaintes du voisinage, plusieurs bars de la ville avaient été menacés de devoir fermer leurs portes à minuit en février dernier. Le service du commerce avait principalement visé des établissements (28) en Vieille-ville, à Carouge, à la rue de l’Ecole-de-médecine (Plainpalais) et dans le quartier des Eaux-Vives. Les réactions avaient été vives, rapidement relayées sur les réseaux sociaux, aboutissant la nuit du 2 mars à une importante manifestation sur la Plaine de Plainpalais. Depuis, les fêtards savent qu’ils doivent se tenir à carreau s’ils veulent que leurs établissements préférés restent ouverts jusqu’à 2h00 du matin. C’est là qu’ont été engagés ces fameux « chuchoteurs », des personnes qu&rsqu...

Comment les bars de la périphérie ont évité la fermeture à minuit

Les tenanciers de bars et de discothèques jonglent entre clients festifs et bon voisinage. Pour eux, être situé à Meyrin, Thônex ou au Grand-Saconnex est un atout. Jamais José Antonio Guardiola ne retournerait au centre-ville. Et pourtant, cet Espagnol au bagout entraînant y a possédé plusieurs établissements par le passé. Désormais, il est le patron du G Bar, l’un des rares bistrots du Grand-Saconnex ouverts jusqu’à 2 heures du matin. «Quand l’opportunité de reprendre l’affaire s’est offerte à moi il y a douze ans, je n’avais mis les pieds dans la commune qu’une fois ou deux», se souvient-il. Aujourd’hui, il dit tenir le coup bien que «les deux dernières années n’aient pas été simples». Mais plus que tout, au moment où la vie nocturne vit une période de troubles – en témoigne le tollé cau...

Dans le bruit des souffleuses

En faisant mon footing ce matin, j’ai croisé une classe de la crèche Bertrand. Les enfants se rendaient au marché de l’avenue Peschier (il y a déménagé pendant les travaux du CEVA sur le Plateau de Champel où il avait pris ses quartiers). Voir ces bambins choisir des légumes de la région m’a rappelé que les éducateurs et les éducatrices de la petite enfance font beaucoup d’efforts pour sensibiliser les enfants aux thématiques écologiques. Mes filles ont toutes fait connaissance avec Trilouette, une marionnette qui leur a appris à trier leurs déchets, lors de leur passage respectif à l’Espace de vie enfantine Bertrand. Les menus concoctés par les cuisiniers sont labellisés Fourchette verte: ils sont faits avec une bonne dose de produits régionaux. Et cette péda...

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